Nous sommes :
- Contre le projet d’arrêté suspendant la chasse du courlis cendré en France métropolitaine jusqu’au 30 juillet 2025 : https://www.consultations-publiques.developpement-durable.gouv.fr/projet-d-arrete-du-suspendant-la-chasse-du-courlis-a3048.html
Prenez quelques minutes pour donner votre avis en personnalisant votre commentaire. Votre voix compte et nous avons besoin d'une forte mobilisation des chasseurs français.
Eléments de langage à utiliser et à personnaliser :
- L’érosion des populations à l’échelle européenne n’a jamais été imputée à la chasse française, pourquoi la chasse est-elle toujours la variable d’ajustement ?
- Aucune information n’a été publiée démontrant l’efficacité des moratoires sur l’état de conservation des espèces concernées.
- Les statuts de conservation de la barge à queue noire et du courlis cendré se sont améliorés à l’échelle européenne.
- Les chasseurs français mettent en œuvre de nombreuses actions sur le terrain pour favoriser l’habitat de ces espèces avec des plans de gestion et des actions de plantation de haies.
- La suspension de la chasse a un effet contre-productif en réduisant l’effort des chasseurs en termes d’aménagement des habitats.
- La gestion adaptative ne doit pas fonctionner à sens unique.
- Après deux années de moratoire ayant porté leurs fruits, de petites quantités de prélèvements devraient être réautorisées.
- Il existe deux populations de barges à queue noire : une Islandaise et une continentale et la sous-espèce islandaise se porte très bien. Pour éviter les risques de confusion entre les deux sous-espèces, il serait envisageable de demander une chasse entre les mois d’octobre et de décembre. Le Comité d’Experts sur la Gestion Adaptative (CEGA) s’était d’ailleurs prononcé sur un quota de 210 prélèvements.
Merci pour votre participation !